[la-lettre] retours, prolongements : Lacoue-Labarthe, Sollers

J’ai retenu le point omphalique, au lieu du secret auquel s’attarde Ginette Michaud après Derrida, Lacoue-Labarthe et bien d’autres, relativement au livre “testamentaire” de Maurice Blanchot, L’Instant de ma mort, qui avec une scène primitive (?), donne l’axe du livre posthume de Lacoue-Labarthe (Agonie terminée, agonie interminable) récemment paru, et sur lequel j’avais déjà rédigé quelques notes.

D’excellents articles (Haenel, Bident) et les travaux de Ginette Michaud m’ont incité à y revenir.
Quant à Philippe Sollers, il a trouvé un parfait interprète avec Aliocha Wald Lasowski, son livre d’essais Philippe Sollers, l’art du sublime, suivi de trois entretiens, dont un aussi préféré que le musicien, Haydn, et la formule qui rejoint paradoxalement celle de Blanchot : non omnis moriar.
Dans ce “Pocket”, on trouvera aussi Barthes, Picasso, Casanova, Stendhal, Mozart, Manet…
Ce livre complète le collectif dirigé par Anne Deneys-Tunney auquel avait d’ailleurs participé Aliocha Wald Lasowski.

Bonne semaine !

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